Bon, alors je viens de finir Harry Potter.
AVERTISSEMENT : Là c'est le moment où je vais raconter ce qu'il se passe dans Harry Potter. Pour les six premiers tomes je vais pas faire de cadeaux, parce que bon ils sont sortis en films alors tout le monde sait comment ça finit. Par contre quand j'arriverai au septième tome, je vais faire de l'écriture magique où il faut surligner avec le curseur pour voir ce qu'il y a écrit. (Comme ça personne ne viendra mettre des menaces de mort dans ma boîte aux lettres.)
Alors ça commence avec un garçon qui est super opprimé. C'est genre Cendrillon mais en garçon : c'est Harrillon.
Harillon vit avec des gens qui le détestent, ils le détestent tellement qu'on se demande bien pourquoi ils s'emmerdent avec lui et pourquoi ils vont pas le perdre dans la forêt, Petit Poucet style. Ou alors c'est juste que c'est des méchants sadiques et qu'ils aiment bien l'humilier.
A la lumière de cette explication, on a soudain une image mentale très vive de la vie sexuelle des Dursley :
- Ah ah Harry dort dans le placard à balais comme un chien, ça t'excite, hein ?
- Oh oui maîtresse, soumets-moi.
Bref.
Un beau jour Harrillon reçoit une lettre écrite en vert (couleur chelou par excellence) qui lui dit qu'en fait c'est un sorcier ! Du coup il est sauvé de la vie chez les séquestrateurs d'enfants et il va à Hogwarts (oui en fait comme j'ai lu le bouquin en anglais, je connais pas les termes français. Et puis aussi, Poudlard, c'est moche.) pour apprendre la magie. Hogwarts c'est comme une école normale en Angleterre : il fait froid et humide et c'est tout délabré. Sauf que bon, y'a des trucs cool genre des fantômes, des donjons, et des tableaux qui parlent.
Donc Harry part apprendre la magie et se fait des amis. Il apprend aussi que ses parents sont en fait pas morts dans un accident de voiture (vu qu'ils ont jamais passé le permis de conduire, ha les losers) mais qu'en fait ils se sont fait brutalement assassinés par un super-méchant qui s'appelle Voldemort. (Il manquait juste un "Dark" devant pour en faire un ultra-méchant). Voldemort c'est un peu un croisement de Dark Vador, Judas, et le roi Hérode : c'est un sale traître qui adore torturer les gens, et au passage tuer des innocents.
Mais Voldemort il est pas super content, parce qu'il se la pète à mort genre "Aha j'suis trop fort rien ne me résiste" alors qu'en fait si, vu qu'il s'est fait battre par un gamin qui faisait encore dans ses couches. (Tapette.) Le gamin c'était Harry. Donc maintenant que Voldemort a passé dix ans à se peler le cul dans une forêt d'Albanie, il se dit qu'il prendrait bien sa revanche.
(Et d'un côté, on peut le comprendre. C'est pas particulièrement hospitalier comme endroit, l'Albanie. Mais bon comme il fait de la magie noire, c'est une question de réputation, ça aurait tout foutu en l'air de dire "Voldemort, le grand mage noir, a fui aux Caraïbes, panser ses blessures sur une plage baignée de soleil." Donc en Albanie, au fin fond d'une forêt humide, il a bien l'occasion d'être malheureux et de se rappeler pourquoi il est si méchant.)
Du coup Voldemort essaye de tuer Harry environ une fois par an, mais à chaque fois il se fait battre (dis donc quel incapable). Là où ça devient intéressant, c'est quand des gens commencent à mourir (dans le tome 4, il aura fallu le temps). Sauf qu'à ce moment, Harry, qui était assez cool, devient chiant.
- Oh mon dieu les gens meurent par ma faute, si seulement je n'avais pas survécu, tous ces gens seraient encore en vie. Han, tout le monde m'aime et me dit que je suis formidable, j'en ai trop marre, personne ne me comprend.
Quand même, pendant trois tomes j'avais un peu envie de le secouer et de dire "Mais c'est bon avec la fausse modestie, là". Tu sais à qui il me fait penser, Harry ? A Céline, une meuf qui était avec moi au lycée. C'était une nana super belle (surtout d'après les standards du lycée) : elle avait une peau parfaite, un corps de déesse, et des longs cheveux soyeux. Et elle passait ses journées à aller de fille en fille et à nous tenir à peu près ce langage :
(A Sarah, qui avait de l'acné)
- Oh c'est horrible, j'ai un affreux bouton là, près du nez, il est atroce, je veux mourir.
- C'est un grain de beauté.
- Ah oui !
(A moi, qui avais des kilos en trop)
- Han comment je suis trop grosse! Non mais franchement regarde mon ventre, tu trouves pas que j'suis grosse? Si mais j'ai pris des kilos, là, je le sens.
- On voit tes côtes.
- Ah oui tiens! Je dois pas être si moche que ça finalement!
- Connasse.
- Hein?
- Non, rien, ça devait être le vent.
Ben Harry Potter, c'est pareil.
- Oh, je suis trop nul en magie-an !
- Harry, tu as vaincu le plus grand sorcier de tous les temps trois fois de suite en combat singulier, avant d'avoir dix-huit ans.
- Ah oui ! Je dois pas être si nul finalement !
- Oh j'en ai marre de tous ces gens qui meurent à cause de moi !
- Harry, ils meurent pour toi, parce que tu es notre seul espoir de vivre en paix un jour.
- Ah oui !
Bref, Harry continue de se dénigrer en gagnant la Coupe du Triwizard Tournament (tout en ayant trois ans de moins que l'âge requis), en devenant capitaine de l'équipe de Quidditch, et en défiant régulièrement Voldemort, les yeux fermés, à une seule main, tout en faisant des pompes et en apprenant la physique quantique.
Pendant ce temps, tous les gens qu'Harry aime plus ou moins s'obstinent à mourir, décidément c'est une manie: d'abord ses parents, ensuite son parrain, ensuite son mentor. Harry est triste (on le comprend un peu). En plus tu penserais qu'avec se réputation de serial killer de méchants sorciers, il pourrait au moins emballer facilement, mais en fait non, il arrive tout juste à pécho la sœur de son meilleur ami. (Ah oui, parce qu'il lui a sauvé la vie en affrontant un serpent géant au regard qui tue et au poison incurable, à mains nues, quand il avait douze ans. Mais à part ça il est nul, hein.)
Après, les amis de Harry Potter, je les aime bien, surtout Hermione, je me demande bien pourquoi. En tout cas c'est pas du tout parce que je m'identifie aux personnages de rats de bibliothèque qui emmerdent le monde avec des histoire qu'ils sont les seuls à trouver intéressants, et qui commencent à réviser pour les examens de juin en janvier. Ça n'a rien à voir.
J'ai quand même trouvé des choses dans ces livres qui m'ont bizarrement rappelé un autre truc que j'avais lu : Ho, les Horcruxes de Voldemort, des objets chargés de magie dans lesquels sont déversés une partie de son âme et qui l'empêchent de mourir. Ça me rappelle vaguement une histoire avec un Anneau, mais je dois me méprendre. Ho, une figure de mentor paternaliste à longue barbe blanche, à l'âge inconnu (mais très avancé), détenteur d'un savoir unique, et s'exprimant par énigmes ! Ça me rappelle un mec... il avait un nom bizarre...ça commençait par un G.... Il aimait bien se tenir sur des ponts cassés et lever les bras en brandissant un bâton... Oh, ça va me revenir. (Bien joué, J.K., c'est subtil. Au moins la mormone de Twilight elle a eu la décence de créer son univers toute seule. C'est sans doute pour ça qu'il est pourri, mais bon.)
(Je plaisante, hein. Parce que si on veut remonter à l'essence du genre de mythe "je coupe mon âme en morceaux et je les mets dans des objets", il faudrait dire "J.K.Rowling, sale copieuse des rites funéraires en Egypte Ancienne!" et là c'est un peu ridicule.)
J'ai aussi quelques remarques à faire sur le dernier tome (attention, encre invisible comme dans les kits de la CIA!) :
D'abord, je suis étonnée qu'il n'y ait pas eu plus de gens qui meurent dans la grande bataille. Parce que bon, d'accord, Fred, Lupin, Tonks, mais en fin de compte c'est tout. Alors que l'armée de Voldemort ils ont des géants, des araignées, des Dementors, plein de mecs méchants qui tirent dans le dos, et tout. Moi je m'attendais à ce qu'il y ait au moins des gens qu'on aime beaucoup qui meurent, genre Ron, Hermione, Neville ou Luna. Bon, je me plains pas, mais c'est juste que du coup, l'armée de Voldemort, j'ai du mal à comprendre pourquoi elle fait si peur.
Et ensuite : bon, on a compris, vous êtes des gentils. Les coups qui tuent, c'est les méchants qui les utilisent. Mais franchement, vous pensez vraiment que c'est se battre à armes égales ? Massacrez-les, bon dieu ! Même Voldemort, il est tué par son propre sort qui rebondit. "Expelliaramus"??! Non mais tu te fous de ma gueule?!! Il a pas déjà assez essayé de te tuer par le passé ? Trois fois par an en dix ans, ça te suffit pas? Crétin. (Oui je sais, c'était gagné d'avance, il avait la baguette de la mort, tout ça. Mais quand même, c'est épuisant d'indulgence.)
Et puis, la dernière chose qui m'a un peu chiffonnée : non mais c'est quoi cet épilogue ?
Ça suffisait pas que Harry n'ait pas de personnalité propre, mais soit exactement comme son père ? Il faut que tous les enfants des sorciers subissent le même sort ? Et puis les prénoms, bonjour l'originalité : "Oh chéri donnons à nos enfants les noms de tous les gens qu'on connaît qui sont morts". Super ambiance. Et en plus de ça, on dirait que les noms des sorciers te forcent à devenir un clone de la personne qui le portait avant. James Sirius, on le voit cinq minutes, et on comprend tout de suite que c'est un futur délinquant juvénile. Lily Luna, j'imagine qu'elle va devenir bizarre mais gentille quand même. Et puis Albus Severus, mon dieu mais il va se faire taper (d'une part), et puis bonjour la personnalité : un génie brillant, tourné vers la magie chelou, sans amis. Cool, sympa pour lui, les gars. Vous auriez pu être gentils et l'appeler Enzo Kenzo, au moins il se serait intégré.
Donc, dans l'ensemble, j'ai vraiment bien apprécié Harry Potter. J'avoue que je m'attendais à un conte pour enfants un peu simpliste, les gentils versus les méchants, et je suis bien contente de m'être trompée. Bon, par contre je pense avoir trop dévoué mon adolescence à d'autres livres pour me permettre de devenir une vraie fan d'Harry Potter (Et puis je n'ai pas pleuré, et les larmes que je verse sur un livre, c'est la seule chose qui m'indique que je vais m'en souvenir pour le reste de ma vie.) Mais c'était sympa.
Maintenant, les débats sont ouverts (et je sais qu'il y a des fans dans le coin qui vont venir débattre chaque phrase de cet article en démontrant pourquoi j'ai tort et pourquoi Harry Potter est la septième merveille du monde : vous gênez pas, je comprends, je ferais la même chose pour la Croisée des Mondes) : alors, et vous, qu'est-ce que vous avez pensé de Harry Potter?
T'as oublié de souligné que dans le tome 7, il se passe rien. Rien de rien.
RépondreSupprimerIls attendent dans la forêt.
Ils attendent dans la forêt.
Ils attendent dans la forêt.
Ils attendent dans la forêt.
Ils se bagarrent.
C'est fini.
Palpitant.
(Et traumatisant de part la perte du meilleur des personnages.)
Sinon ouais il se plaint tout le temps, mais en fait comme tous les héros de fantasy (enfin ceux que je connais). Ils sont toujours aidés par leurs supers amis mais ils savent rien faire de leur dix doigts. Et ils se plaignent.
(Je pensais à Frodon qui quand même se plaint souvent, et Garion dans la Belgariade, et Fitz dans l'Assassin royal, et euh voilà.)
Par contre dans le quatre, il sert à rien le cadavre, c'est Robert Pattinson quoi.
je suis pas un aficionado de HP mais ça fait plaisir qu'une réfractaire séculaire au livre comme toi ait l'ouverture d'esprit d'au moins essayer et lire les 7 tomes. C'est bien !!
RépondreSupprimerMoi je veux un article sur la Croisée des mondes !
RépondreSupprimerAh, la Croisée des Mondes... J'en aurai gardé une image merveilleuse et quasi-parfaite à jamais si je n'avais pas eu l'idée saugrenue de voir le film, comme ça, pour rire un bon coup devant ce navet.
RépondreSupprimerA la place, j'ai pleuré de désespoir.
moi j'aime bien Harry Potter. J'suis contente que tu les ai lu. et jsui contente que ça t'ai quand même plu. (bon l'épilogue je t'avais prévenu)
RépondreSupprimerbisous ma belle
Moi je plussoie que tu ré-écrive la croisée des mondes parce que c'est toute mon enfance.
RépondreSupprimerPar ailleur je kaïffe ta relecture assez juste de Harry Potter =D
(oui, ca c'est du message commentatif décisif, utile et chouette, youpi.)
Je vais lire La Croisée des mondes avant de m'exprimer sur le sujet!
RépondreSupprimerEnzo Kenzo... merci d'avoir illuminé ma journée (mais force 12 quoi) !
RépondreSupprimerJ'suis d'accord. Voilà c'est tout.
RépondreSupprimerJ'avais fait la même critique du tome 7, l'épilogue, mais genre c'est La Belle au Bois Dormant, en fait.
Enfin, j'ai commencé à lire Harry Potter j'avais 10 ans, c'est sans doute pour ça que les premiers tomes m'ont semblé "trop super cool". Arrivée au dernier, avec plusieurs années en plus, il est vrai que certaines choses deviennent un peu lourdes (j'avais entre autre relevé une comparaison avec le gout de crotte de nez..) Mais bon, j'ai quand même été fan de ces bouquins et j'aime l'idée d'avoir commencé à les lire vers 10 ans et que je verrai le dernier film à plus de 20 ans. (mais on s'en fout)
Eh bien voici ma foi une étude fort rafraichissante. Peut-être parce que je les ai commencé très tôt ( France loisirs Powa ) j'eus aimé que tu developpe un peu plus tes impressions justement sur les premiers tomes ( je vais pas te parler de Sirius Black ou du façonnage de Tom Marvolo Riddle mais oh tiens si, je t'en ai parlé :-) ). A part ça, c'est somme toutes une observation Hermionique de la situation, ce dont je te sais gré car c'est sans doute le personnage le moins rébarbatif dans son rôle ( mais d'autres ont du level, wesh-sissi ! ).
RépondreSupprimerEn tout cas, outre que j'adore encore et toujours ton talent genre ma-plume-est-en-diamant-de-météorite ( et elle ouvre des fenêtres entre les mondes...) je suis heureux de cette deuxième occurence à l'oeuvre de ce cher Philip P. que je dévore en ce moment pour la septième fois je crois -vivent les transports !-.
Sur ce, Ma chère Doudounette, puisse ta route être claire et brillante et couverte de Poussière.
Bises claquantes.
F.
Eh bien moi je suis une fan incontestée de la saga HP.
RépondreSupprimerJe ne suis pas d'accord sur la description que tu fais de Harry (même si le Harillon pour le coup était pas mal trouvé !). Je ne trouve pas qu'il manque de caractère, je pense que ce n'est pas un personnage "vide". après, le fait qu'il se dénigre souvent comme tu le fais remarquer, malgré ses prouesses (je suis totalement fan de la phrase : "et en défiant régulièrement Voldemort, les yeux fermés, à une seule main, tout en faisant des pompes et en apprenant la physique quantique")ce n'est pas ce qui en fait un personnage inutile ou ridicule. C'est son caractère, et je ne trouve pas ça gênant. Je ne trouve pas qu'il manque de personnalité. Mais c'est vrai que chacun ses goûts ! :)
J'aurai aussi aimé que tu parles d'autres personnages comme l'a fait remarquer Doudou, comme Sirius ou Dumbledore ou Snape ! (Personnelement, ce sont ceux que je préfère !).
Sinon, comme tu parles beaucoup de la Croisée des Mondes, je t'avoue (je dois être la seule ici) que je n'ai pas vraiment accroché. Je n'ai lu que le premier tome et je suis loin d'avoir été embarquée dans l'histoire comme ça l'a été avec HP. Je ne sais pas si après c'est mieux, j'essaierai de me plonger dans le tome 2 pour me faire une vraie idée.
En tout cas, je suis très contente que tu aies lu tous les HP et que tu nous en parles avec humour ! (Et je suis entièrement d'accord sur l'épilogue qui est consternant... J'ai été trèèèèès déçue par cette fin niaise à souhait ! J. K. Rowling aurait dû s'abstenir, pour le coup).
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerBon, cet article est super vieux, et j'hésite à poster un commentaire sur ton blog parce que je voulais que ce soit pour dire un truc intéressant. Mais ça fait deux ans que je te lis au lieu de dormir la nuit ou de travailler, par exemple. Et puis là tu parles d'Harry Potter, c'est quand même toute mon enfance et toute ma vie à égalité avec le Seigneur des Anneaux, et tu conclues sur la Croisée des Mondes (je cherche des trous entre les mondes partout mais les anges ont bien fait leur boulot, ces connards). Et un Être de Lumière a cité l'Assassin Royal en commentaires. Donc je commente (tout ça pour en arriver là).
SupprimerA la bataille finale, en fait, y'a plein de gens qui meurent mais tout le monde s'en fout parce que c'est des personnages secondaires. C'est d'ailleurs marrant qu'il y ait autant de cohue parce que si tu fais bien le compte, à Hogwarts, t'as 40 élèves par promo environ, 10 adultes au max et le reste, c'est tout des elfes de maison (bande de néo-esclavagistes) ; et ces trois pelés se battent contre l'armée de Voldemort qui compte une dizaine de Mangemorts et des auxiliaires peu fiables. Et j'approuve pour l'épilogue, Albus Severus, c'est quand même assez consternant. Quand tu apprends en plus que George épouse Angelina Johnson (qui était avec Fred) et que leur gamin s'appelle... Fred, paye la morbidité du truc...
Je suis aussi ravie que tu partages mon agacement vis-à-vis de Harry. Ce mec est à baffer (c'est sûrement pour ça que Snape trouve qu'il ressemble à son harceleur de père).
A part ça je ne peux pas vraiment critiquer : j'ai lu le premier à 7 ans, le dernier est sorti quand j'en avais 14, et le dernier film, j'en avais 17, donc j'ai un peu grandi avec Harry, c'est impossible d'être objective. Surtout que cette lecture m'a entraînée vers d'autres (mon geek de père a vu que j'aimais le fantastique et en a profité pour me faire lire le Silmarillion à 10 ans, autant dire que j'ai RIEN COMPRIS mais c'était génial quand même).
(Je ne sais pas comment conclure ce message, alors je ne vais pas le conclure, on fait comme ça ?)
(Et j'ai supprimé le premier article parce que j'avais fait une grave faute d'orthographe. Oui, j'aime beaucoup Hermione, moi aussi ^^ )