Et donc c’est l’hiver et je suis incroyablement en retard sur mes séries.
Quelques explications sur l’hiver Kiwi, pour commencer : quand je suis passée de l’hémisphère Nord à l’hémisphère Sud, je ne pensais pas que ça ferait une grande différence au niveau des saisons, puisqu’après tout je suis grosso modo à la même latitude, mais juste dans l’autre sens.
Et, en deux ans et demi, j’ai quand même bien réussi à m’adapter à ce nouveau climat (okay, y’a 90% d’humidité dans l’air en permanence, mais en contrepartie il fait moins froid l’hiver et moins chaud l’été, mes os de petite mamie se réjouissent).
Par contre, les saisons inversées, c’est la misère.
Et là, tu te dis peut-être « Bon d’accord, t’as l’hiver en juillet-août, mais en contrepartie, c’est l’été en janvier-février, donc au final c’est la même chose, non ? »
NON.
CENT FOIS NON.
Parce que le truc qui te fait tenir un hiver alsacien, c’est Noël.
Et je savais déjà que fêter Noël en été ce serait une abomination totale (et j’avais complètement raison) (c’est une hérésie), mais j’avais carrément pas vu venir le contre-coup, AKA : les longs mois d’hiver pluvieux entre juin et septembre, pendant lesquels tu ne peux rien faire de cool parce que toutes les activités fun de ce pays se font en extérieur, et où, coup de grâce, t’as même pas Noël pour te faire tenir la distance !
(Non, à la place on a un pauvre jour férié début juin, où on n’a rien à faire de cool parce QU’IL PLEUT.)
Bref, je sais pas si ça se sent, mais pendant l’hiver néo-zélandais, je suis un poil à cran.
Parce que l’été en Nouvelle-Zélande, c’est une myriades d’activités cools qui te tendent les bras :
• aller à la plage ;
• faire des randonnées ;
• aller se baigner sous les cascades dans le bush ;
• aller cueillir des fraises ;
• faire des barbecues ;
• être invités à des barbecues ;
• aller à la pêche ;
• faire un nouveau barbecue avec les poissons qu’on a pêchés ;
• partir en week-end canyoning ;
• se faire une balade en kayak ;
• faire une partie de bumper ball ;
• faire du snorkeling ;
• sortir de l’eau en hurlant parce qu’on a vu un poisson de plus d’un centimètre de long ;
• passer l’après-midi à lire un bouquin sur la plage et à se tartiner de protection 50 pendant que Flaxou barbote dans l’eau jusqu’à être tout fripé parce qu’un autre plongeur lui a dit qu’il avait vu un poulpe et que du coup il a décidé que lui aussi il voulait voir le poulpe sauf qu’entre-temps le poulpe était parti alors bon du coup ça fait deux heures qu’il retourne tous les cailloux pour trouver le poulpe;
Bref, l’été néo-zélandais, c’est le bonheur sur une tranche de kiwi.
(Preuves à l'appui.)
Et en contrepartie, la liste d’activités qu’on peut faire l’hiver dans ce pays est quelque peu plus courte :
• Aller au cinéma (pile à temps pour la sortie des blockbusters de l’été hollywoodiens et RIEN D’AUTRE) (mange tes sequels, tes prequels, tes remakes et tes reboots) ;
• Aller au restaurant (et frissonner dans les courants d’air) ;
• Faire les soldes (dans l’un des 5 magasins de la ville) ;
• Aller au musée (au singulier - y’en a qu’un) ;
• Aller au théâtre (au singulier, cf. ci-dessus) voir la pièce (la programmation change à peu près tous les trois mois) ;
• Aller à l’un des divers festivals qui animent Auckland toute l’année (et se faire rincer par une pluie glacée, parce que les gens ont pas compris que c’était une mauvaise idée d’organiser des événements en extérieur en plein cœur de l’hiver) (mais en même temps, qu’est-ce que tu veux attendre de la part d’un peuple qui met des chaussures que trois mois dans l’année) (ces gens sont fous) ;
• Rester à la maison parce qu’on est fauchés et que toutes les activités ci-dessus sont payantes ;
• Se morfondre dans le ronronnement du déshumidificateur en pensant à tous les plats à base de fromage qu’on pourrait manger pour se réconforter, sauf qu’on peut pas - à moins de tout remplacer par du cheddar, et pardon mais la tartiflette au cheddar laisse tomber le sacrilège.
Et toutes les activités en extérieur, à Auckland, tu peux oublier, puisqu’il pleut tellement que, même les beaux jours, on peut pas aller faire une balade sans se noyer dans des torrents de boue.
(C’est le moment dans l’année où on envie les veinards de l’Ile du Sud, qui ont des montagnes enneigées et qui peuvent faire du ski.)
(Les bâtards.)
Le diaporama de mes activités d'hiver en Nouvelle-Zélande se résume donc à ça:
(Youhou)
(Tu noteras la petite couverture pour pas geler d'un bloc sur ma chaise.)
Du coup, comme je suis consignée à la maison à chaque week-end, je me suis dit « foutue pour foutue » et j’ai demandé à ma copine Sarah de me conseiller des séries à regarder. Double avantage puisque de 1 Sarah, c’est LA référence en matière de sériephile, elle a facile mille séries sous le capot (et pour une fois ce n’est pas une hyperbole) et de 2 Comme elle me connait bien, elle sait exactement ce qui va me plaire ou non.
J’ai donc commencé mon hiver rassérénée, avec une liste Betaseries longue comme le bras, en me disant « Cool bananas, j’ai de quoi m’occuper jusqu’à la rentrée en septembre » (et peut-être même de quoi m’occuper jusqu’à la prochaine saison de Sherlock) (vers 2023).
Sauf qu’entre-temps, Professeur Flaxou a ruiné ma vie une seconde fois :
- Tu joues plus a Falllout New Vegas ?
- Nan. C’est un bon jeu, mais il est moins bien que Skyrim, alors je me lasse plus vite.
- Et Skyrim, t’y joues plus ?
- Ben non, j’ai fait toutes les quêtes.
- Tu sais que si tu vas sur le workshop, tu peux télécharger des quêtes additionnelles gratuitement ?
Non, vraiment, champion du monde.
J’avais tout juste réussi à décrocher, et le gars, il me replonge le nez dans la poudreuse.
Du coup laisse tomber la neige comment je vais jamais réussir à terminer une seule des séries de ma liste, parce que là, c’est reparti pour 400 heures de jeu.
(Ci-mer les tarés de la vie qui décident de coder pendant deux mille heures juste pour le kif d’offrir au monde entier des quêtes additionnelles, avec des nouveaux personnages, des nouveaux items, des fois même des putains de MONDES ENTIERS avec des villages, des donjons, des fleurs, des vaches, la totale.) (Et tout ça gratos, juste parce qu’ils t’aiment bien.)
(Ça fait plaisir de voir qu’il y a des gens plus obsessionnels que moi sur ce jeu.)
Bref, je voudrais, si tu le veux bien, profiter de cet article pour accorder une minute de silence à ces séries que je ne finirai jamais :
« Hannibal » pour commencer, qui était pourtant bien partie, j’avais presque fini la saison 1.(C’était une série qui me donnait paradoxalement faim, parce que le mec, okay, il cuisine de l’humain, mais sans deconner je suis la seule à trouver que ses plats ont l’air super bons ?)
(Non ?)
(Juste moi ?)
(Ah bon.)
« True Detective » dont la saison 2 a commencé depuis des semaines et j’ai toujours pas regardé un seul épisode. (Pourtant j’avais beaucoup aimé la saison 1, et là en plus j’ai vu la bande-annonce et y’a Colin Farrell avec une moustache, comment pourrait-on vouloir rater ça ?)
« How to Get Away with Murder » alias la série que je vais clairement jamais finir, parce que j’ai regardé 3 épisodes avant de me rendre compte que c’était Docteur House avec des avocats.
LITTÉRALEMENT.
Y’a le professeur irascible mais brillant que tout le monde admire et craint et qui enseigne de manière peu orthodoxe (House/Keating), y’a l’étudiante toute mimi et gentille et première de la classe (Dr Cameron/Laurel), y’a le beau gosse charmeur (Dr Chase/Connor), y’a la meuf super compétitive et prête à tout pour réussir (Amber "Cut-throat Bitch"/Michaela) , et y’a le type qui sort du moule mais qui est bien gentil (Dr Foreman/Wes).
Et non seulement la série a les mêmes personnages que dans Docteur House, mais en plus chaque épisode suit le même déroulement paresseux (« Han mais comment on va innocenter ce mec ? », puis enquête, révisions, « j’ai trouvé un truc mais c’est pas terrible », « tant pis on n’a plus le temps faisons comme ça », puis dix minutes avant la fin, BOUM RÉVÉLATION et twist final.)
(Comme du papier à musique.)
Donc laisse tomber, je préfère encore regarder des vieux épisodes de House et crier à mon écran « Mais bien sûr que non c’est pas une sclérose en plaques ! Vous en êtes qu’a vingt minutes d’épisode ! »
Y’a aussi « Orphan Black » dont je n’ai pour le moment vu que le pilote, et pourtant dieu sait combien le monde entier me rebat les oreilles sur la génialitude de cette série (mes amis, les amis de mes amis, et tous les gens sur tous les Tumblr de Tumblr).
« Bloodline » pareil, j’ai vu que le pilote, et j’étais à la fois intriguée et larguée (mais attends, les gars ils ont tué leur frère ? Mais d’abord y’a combien de mômes dans cette famille, trois ou quatre ? En comptant celui qu’ils ont tué ? Ou bien est-ce qu’il est mort autrement et ils se débarrassent du corps ? Mais pourquoi ? Et le frère parfait, là, il est pas flic ?)
(C’est à n’y rien comprendre, mais bon, comme c’est la Floride, j’imagine qu’il y a une histoire de methamphétamine quelque part.)
Aux oubliettes aussi, « Younger », dont je n’ai vu que le pilote et qui était tellement furieusement girly qu’il m’a fallu genre trois jours pour le digérer. (En plus, putain, une série avec Hillary Duff, c’est quand même un peu la série de la honte.)
(Et je m’y connais en séries de la honte.)
(Je regarde encore Downton Abbey.)
Parlant de séries anglaises, j’en profite pour dire toodle-oo à « Utopia », que j’avais téléchargée dans ma phase « les séries British sont les meilleures de l’univers » et que j’en avais marre de me rediffuser Black Books, the IT Crowd et Sherlock en boucle. Du coup, quelque part entre Broadchurch, Misfits, A Young Doctor’s Notebook, Peaky Blinders et
Sauf que j’avais omis de dire que j’étais une pire chochotte et qu’il me fallait en général six mois pour me remettre de chaque épisode de Black Mirror (big up à l’épisode avec le cochon - ça fait un an et je l’ai toujours pas digéré).
Du coup j’ai commencé Utopia pleine de bonne volonté, en me disant que ce serait une chouette série un peu fantastique (le pitch : une bande de fanboys du roman graphique « Utopia » qui ne se connaissent que via Internet sont pris en chasse par une mystérieuse organisation lorsque l’un d’entre eux met la main sur le manuscrit du tome 2 d’ « Utopia », qui n’a jamais été publié car l’auteur est mort, et qui, selon la rumeur, pourrait prédire l’avenir) (tam tam taaaam).
Sauf que cash dans l’épisode 1, on assiste à un meurtre d’enfant avant même le générique.
(LA JOIE)
- En matière de torture, chacun a sa zone du corps préférée….
- Pas les yeux, pas les yeux, pas les yeux…
- Les parties génitales…
- Pas les yeux pas les yeux pas les yeux…
- Les dents….
- Paslesyeuxpaslesyeuxpaslesyeux…
- Pour ma part, je préfère les yeux.
- Putain de merde.
(Et donc, vas-y que je te frotte du sel, puis du piment, puis de la javel dans les yeux, et puis bon après j’ai vu arriver une petite cuillère alors j’ai coupé la télé parce qu’il faut pas trop m’en demander.)
Et tant qu’on est dans l’international, citons aussi la série que je dois finir depuis neuf ans, c’est-à-dire « Cowboy Bebop », que Flaxou a enfin réussi à me faire visionner après douze mille ans de ça :
- Tu devrais voir Cowboy Bebop.
- J’aime pas les animés japonais.
- Celui-ci tu vas l’aimer.
- J’aime pas les animés japonais.
Et c’est qu’il est tenace, l’asticot :
- Ha c’est trop bien Firefly.
- Tu sais ce qui est presque pareil ? Cowboy Bebop.
- Hmmm, il est délicieux ce chocolat !
- Tu sais ce qui est délicieux aussi ? Cowboy Bebop.
Et puis un jour, je parlais à mon pote Stan qui aime beaucoup les animés, et il m’a dit :
- Mais en fait, Cowboy Bebop, on peut l’apprécier même si on n’aime pas les animés. C’est un peu comme on peut apprécier « Gattaca » même si on n’aime pas la science-fiction.
Et ça m’a fait réfléchir, parce que je me suis souvenue que ma mère a aimé Gattaca.
Ma MÈRE.
(AKA la personne qui ne voulait pas aller voir Gravity parce que « Je t’ai déjà dit que je détestais Star Wars ».)
(Oui, pour ma mère, tout ce qui se passe dans l’espace, c’est Star Wars.)
(Cherche pas.)
Du coup je me suis dit que si ma mère avait pu être assez ouverte d’esprit pour apprécier Gattaca, je pouvais bien faire preuve de la même tolérance. Donc je suis rentrée à la maison ce jour-là et j’ai dit à Fla :
- OK, viens, on regarde Cowboy Bebop.
(Je l’ai rarement vu aussi heureux.)
(C’était à peu près du même niveau que quand il rentre d’une longue journée de merde et que j’ai acheté des bonbons.)
Donc on s'est installés devant la télé avec Flaxou en mode :
- On regarde Cowboy Bebop, on regarde COWBOY BEBOP WOOT WOOT WOOT.
Autant te dire que je redoutais un peu le truc.
(Allez vas-y, montre-moi ton truc avant que t'hyperventiles.)
Et ça me fait mal de le dire, mais : Cowboy Bebop, c’est bien. Flaxou avait raison et j’avais tort.
(J’espère qu’il ne va pas s’habituer, parce que j’ai bien l’intention que ça ne se reproduise plus jamais.)
Seulement je peux pas regarder Cowboy Bebop en mangeant parce que c’est en VO et que je dois lire les sous-titres, et comme dès que j’ai fini de manger je retourne jouer à Skyrim, bah du coup j’ai vu genre 5 épisodes.
Et en parlant de choses qu’on peut pas regarder pendant qu’on mange, bisous à « The Strain » mais déso, comme Capri, c’est fini.
(De toute façon, la fin de la saison 1 commençait déjà à me gonfler un peu.)
(Une preuve de plus qu’une œuvre de fiction avec des vampires finit toujours par puer du cul.)
(Même si c’est des vampires dégueulasses et plein de gros vers.)
J’ai même arrêté « Marco Polo », alias la série qui avait tout pour me plaire (de l’histoire, des voyages, des beaux gosses – ça aurait pu devenir mon deuxième « Vikings ») (team Rollo) - Sauf que je me suis fait super chier et que du coup j’ai même pas vu la moitié de la saison 1.
(Alors que « Vikings », il m’a suffi de la bande-annonce de la saison 4 pour faire des bonds de joie dans tous les sens pendant huit jours.)
(Sauf quand on voyait la princesse Gisla de mes fesses, parce que je m’énerve toute seule rien qu’en me rappelant de son accent qui pue l’anglais LV3.)
(BEEOLD ZI ORIFLAMME, ZI OLY BANNEUR, non mais ça va calme-toi deux minutes Edith Piaf, t’es censée venir du peuple des Francs, pas du peuple des Français, nom de nom ! C’est un accent allemand qu’il faudrait te coller au palais, pas cet espèce de parodie de méchant de James Bond.)
(“You si, aye ame not verry conveenced zis ise Frenche eenof. Peuraps jeuste euh beet maure?”)
(NON.)
Bref.
Et encore ces séries-là, je les ai au moins entamées un peu. Mais dans les bas-fonds de mon compte BetaSeries, j’ai aussi une liste longue comme le bras de trucs que j’ai même pas commencé.
Pour les curieux, la liste inclut « Battle Creek » (parce que Vince Gilligan forever), « The Man in the High Castle » (parce que j’ai lu le livre y’a genre mille ans et dans mes souvenirs il était bien) « The Americans » (parce que j’ai lu « guerre froide » dans le pitch et laisse tomber c’est trop ma guerre préférée), « Rectify » (parce qu’il y a pas un seul pékin sur Facebook qui arrive à la fermer deux minutes à propos de cette série alors je me suis dit qu’il fallait bien que je teste) (vis ma vie de mouton), et « Empire » dont honnêtement je connais même pas le synopsis, mais Sarah m’a dit « Regarde Empire » et je suis quelqu’un d’obéissant.
Du coup, j’ai encore deux mois de libre pour terminer tout ce schmilblick.
Juste deux mois parce qu’après c’est septembre, et que les trois mille autres séries que je suis avec ardeur et dévotion vont recommencer.
(Sauf Game of Thrones – allez, plus que neuf mois.)
(Et Sherlock – allez, plus que huit ans.)
Et comme je me sens un peu addict au vu des quatre-vingt références que je t’ai balancé, je fais un sondage de fin d’article pour me rassurer que je suis pas la seule tarée – et toi, sur quelles séries est-ce que tu es super en retard ?
Allez, bisous les p’tits loups, profitez bien de votre été !
On se retrouve quand j’ai de nouveau des choses qui se passent dans ma vie IRL.
(Sinon je peux te faire un article sur mes quêtes dans Skyrim.) (Mais c’est à peu près tout.)
Je te comprends pas... si tu es geekette, tu devrais être trop contente d'avoir plein d'excuses pour rester devant ton ordi, non? :p
RépondreSupprimerAu fait, je suis ton blog depuis plusieurs mois et tu me fais exploser de rire à chacun de tes articles!! Merciiii ;)
J'oubliais : j'hésitais à regarder Utopia mais rien que ton dialogue m'a donné envie de vomir alors... Merci de m'avoir évité de tourner de l'oeil ^^
RépondreSupprimerPerso, Orphan Black j'aime d'amour, et pour une raison obscure je laisse passer 150 ans entre chaque épisode. Ces temps-ci je regarde moins de séries, tu comprends le soir faut arroser le jardin (on peut pas trop tôt, sinon les tomates grillent au soleil !) et du coup après il est tard et faut aller dormir. Et puis je regarde tous les épisodes de Pitbull & Parolees, du coup, vraiment pas le temps.
RépondreSupprimerQuelques séries que je ne connais pas dans ce que tu as cité, je vais regarder ce qui pourrais m'intéresser.
Bon sinon, t'as un tumblr ? Je suis pas au courant.
Meuf, je t'avais dit qu Younger c'était une série plaisir coupable hein ^^ Et Hilary Duff est trop cool! Je la kiffe! (oh ça va! je te vois te demander pourquoi tu es ma BMFFF hein!)
RépondreSupprimerMais non, tu n'es pas la seule : à moi aussi la cuisine d'Hannibal me donne faim ^^.
RépondreSupprimerSuis en retard dans cette série (qui a commencé à m'énerver à la fin de la saison 1, donc ça m'a "bloquée"), pis faut que je continue Dr Who (toujours pas vu le nouveau docteur), que j'entame Vikings, ...
Alors je viens d'aller étudier mon compte Betaserie et j'ai 20 séries pas encore commencée, tadadaaaa ! Plus toutes celles dont j'ai regardé un ou deux épisodes et c'était pas nul mais pas assez bien pour que je laisse les autres séries en plan pour m'y consacrer.
RépondreSupprimerMais tout ça c'est de la faute du blog "Smells like chick spirit", Tequi elle parle toujours de plein de séries cools que j'ajoute, j'ajoute, j'ajoute, et voilà où on est rendu, SUPER.
Enfin je te soutiens quoi !